J’ouvris la porte du pub Tis Coili. Mon père dit que je trouverai un peu de chez moi dans cet endroit. C’est se que maman disait. Qu’elle trouvait toujours refuge ici et qu’elle partait toujours avec le sourire. Étant très curieuse de voir ça, je mis rendit quand il m’écrit ça en suivant les indications de mon cellulaire. Une chance que j’avais ça parce que je me serai surement jamais rendu sans.

Je souris quand je vis l’ambiance de l’endroit. Papa avait bien raison, je me sens comme chez moi. De la musique Irlandaise, des plats typiques, de l’alcool, et des gens qui s’amusent. Je regardai autour de moi et je ne vis que des sourires, des rires, et des personnes tapés du pied au rythme du groupe. Malheureusement, je ne vis pas de place libre. J’attendis que quelqu’un décide de partir ou qu’une serveuse me trouve une place patiemment. Évidement, qu’est-ce que je pensais venir ici à dix-neuf heures trente. C’est un peu stupide de ma part. Tout le monde va dans les pubs ou les restaurants à cette heure.

Une des serveuses vit me voir et sourit tristement. Elle m’annonça qu’elle ne savait pas quand une place allait se libérer. Je lui souris tout simplement demandant qu’elle arrête de s’excuser. Par la suite, je lui dis que j’attendrai quinze minutes et si il n’y à toujours pas de place valide, je reviendrai demain. Je lui fis un clin d’œil. Elle me sourit amicalement et retourna à son travail. Il y avait un homme qui la héla.

J’écoutai la musique. Sans le vouloir je tapa du pied et commença à me dandiner un peu. Je me dis que je ne devrai pas danser, surtout dans l’entrer du pub. Je souris par contre à l’idée.

La bière allait être bonne, les potes étaient toujours marrant... mais la musique lui grugeait littéralement le système. Du moins c'était comme ça que Nico se sentait ce soir. En entrant de le pub, il soupira un peu en entendant la musique. Il venait de se claquer une journée complète de travail, replaçant deux de ses collègues et la même muisque que dans ce bar avait jouer en boucle. Il en avait réellement mare. Mais bon, ce n'était pas le temps d'être grincheux pour si peu. Les examens étaient finis et pendant toue la fin de semaine, Nico et ses amis avaient décider de fêter ça. La veille, il avait fini par parler avec une professeur sacrément magnifique et la soirée avait étrangement tournée avec les potes. Il s'était levé avec la gueule de bois pour se rendre directement à la job. Bref..il avait besoin d'une nouvelle cuite ce soir.

Le contraste du froid de l'extérieur et de la chaleur étouffante était assez grande et coupa court Nicolas qui fut pris d'un frisson. Des plans pour attraper un bon rhume. Il chercha du regard ses potes qu'il repéra plus loin, occuper a parler avec une serveuse. Géant! L'alcool risquait d'arriver en même temps que lui. Il déboutonna son manteau et commença à se diriger vers ses amis lorsqu'il accrocha avec son bras une jeune fille qui restait plantée dans l'entrée du pub.

- Désoler Fit-il

Il l'avait sacrément accroché fort et voulait s'assurer qu'elle n'ait rien. Il lui fit un sourire désoler, se disant qu'une crise de larme ou de nerf était la chose la moins désirer de la soirée présentement. Si peu de distance le séparait d'entre lui et un liquide qui lui ferait oublié sa détestable journée

J’entendis la porte derrière moi s’ouvrir mais ne me retourna pas. C’est tellement un bruit lointain dans ma tête. Je suis un peu trop prise par l’ambiance qui ma enchanter tout comme ma mère des années au par avant. Le froid de la soirée déjà bien entamé se fit un chemin dans son dos et son cou car j’ai enlevé mon manteau, foulard et mitaines pour ne pas mourir de chaud. Je frissonnai quelque peu à cette nouvelle venu de température.

Tout à coup, je sentis une pression forte mais rapide contre une partie de mon épaule et dos. Ce n’est pas souvent que je perds pied, mais là cette pression m’a prise complètement par surprise. Cette chute à été provoqué par l’homme qui venait d’entrer. Il s’excusa brièvement, avec un sourire qui dégagea la même expression que ce qu’il a dit. Je lui souri à mon tour tout en me m’agenouillant pour ramasser mes vêtements d’hivers que j’ai fait tombé dans ma chute.

-Oh non, ne soyez pas désoler monsieur. J’aurais dut vous faire de la place quand vous êtes entré.

Je remarquai qu’il me dépassa surement pour voir s’il y a une place de libre dans le pub. Je ne voulais pas m’interposer pour lui dire quoi faire, mais je ne puis m’empêcher de lui sauver quelques minutes et qu’il revienne à côté de moi déçu. En plus une idée me traversa l’esprit.

-Je suis désolée monsieur mais je sais qu’il n’y a pas de place de libre. Ça fait seulement quelques minutes que j’attends, et je ne sais pas si une place se libère bientôt. Par contre, si une place se libère bientôt ça ne me dérange pas de la partager avec vous ou encore de vous la céder.

Bon d'accord, il l'avait réellement accroché plus fort qu'il ne le croyait. Il avait l'impression d'avoir un peu éclater une bulle de concentration dans laquelle elle était prise. Il détestait quand pareille chose lui arrivait et, bien souvent, devenait désagréable. Il espéra donc que la jeune fille ne lui en tienne pas rigeur. Mais a voir sa réponse, non. C'était elle qui culpabilisait pour s,être fait accroché... Étrange. Nicolas se pencha pour pendre une des mitaines qui était tombée sur le sol. Heureusement qu'elle n'étaient pas blanche. Avec la neige fondue mélangée a la poussière qu'il y avait sur le sol, elle n'aurait pas été propre suite à cette chute. Il la tendis a la jeune fille, conservant ce sourire charmeur. C'était la moindre des choses a faire devant une belle femme.

- oh ça va. Dit-il J'ai des potes qui m'attendent là bas

Il désigna la table au fond ou ses potes buvaient en riant. Ils semblaient ne pas l'avoir vu. Probablement dans une grande discussion face au match qu'ils avaient manqués la veille, trop saoul pour rester éveiller sur un divan.

- mais si tu attends que la place se libère à cet heure, bonne chance! Ria-t-il Personne ne va réellement quitter son siège avant huit heures, huit heures trente

C'était comme ça la semaine, alors il ne fallait pas espéré la fin de
semaine...surtout celle qui suivait les remises de travaux de mi-session. Il reporta son attention sur la jeune fille se demandant si elle était seule ou elle attendait de la compagnie...

Je pris doucement la mitaine qui me tendit et me releva. C’est bien gentil de m’aider après que je sois resté dans son chemin, même si ce n’était pas voulu. Je me relevai en penchant la tête, mes cheveux bouclés cachant mon visage rouge. Le sourire qu’il me fit me désorienta un instant. Je sais que c’est que par politesse, mais je me sentais mal de recevoir celui-ci. Je fixai de nouveau mes yeux sur lui en lui souriant toujours quand je sentis que mon visage n’était plus aussi rouge. Il me dit que ces amis l’attendent à une table éloignée qui me pointa. Je vis une bande boire et rire. Un petit rire s’échappa de mes lèvres en les voyants. Ils me paressent bien amicale et drôle. L’un d’eux c’est renverser un peu de son alcool sur lui, laissant une flaque mouillé à la hauteur de l’entre jambe. Je mis ma main devant ma bouche et retourna mon regard une fois de plus vers le jeune homme devant moi.

Puis il m’annonça que je ne pourrais surement pas avoir une table avant trente minutes une heure. Je fus déçu, mais ne perdis pas confiance. J’ai dit que j’attendrai au moins quinze minutes, je l’attendrai jusqu’au bout, sinon je reviendrai demain, plus tôt. On ne sait jamais ce qui peut arrivé si on est patient.

-Merci de me dire ça, mais j’ai dit que j’attendrai quinze minutes à une des serveuse, puis si il n’y a toujours pas de place pour moi, je reviendrai demain. Ce n’est pas si grave que ça. Je suis encore très désolé de vous avoir bloqué le chemin, fessant une petite scène involontaire. Je ne veux pas privé plus longtemps vos amis de votre agréable présence. Merci monsieur. J’espère bien vous revoir un de ces jours. Passer une belle soirée.

Je me plaçai sur un des coins de la porte pour ne pas revivre un incident comme je viens de vivre, malgré qu’il fût agréable. Je regardai ma montre un instant pour savoir si les quinze minutes se sont écoulés. Non, plus que deux minutes par contre. Je commençai à remettre mon manteau et mon foulard.

Une femme c'est magnifique. Une femme qui rougit l'est encore plus. Du moins, selon Nicolas. Il aimait la timidité des filles dans de pareille situation. Sensation de pouvoir? Peut-être. Mais tout ce qu'il savait, c'était que ça les rendait craquante. Il faut dire qu'il aimait beaucoup les filles un peu gauche... Elle avait dit son petit monologue a une telle vitesse que Nicolas fut incapable de placer ne serais-ce qu'un mot. A peine assimilait-il la floppée de mots arrivée soudainement à son cerveau qu'elle s'habillait déjà. Le jeune homme, sur un total coup de tête, posa la main sur le bras de la jeune fille qui était en train de remettre son foulard. Il arrêta son mouvement et lui fit un autre grand sourire. Elle rougit encore, ce qui l'amusa un peu. La blonde rougissait tellement facilement.

- Une soirée comme ça,dit-il en désignant le temps maussade à l'extérieur ça se passe dans un pub et pas ailleurs.

Il lui fit un léger clin d'oeil alors qu'une idée lui traversa l'esprit.

- Venez avec moi! Enchaina-t-il en désignant la table Un de plus un de moins, ce n'est pas très grave!

Il ne laissa pas le temps à la jeune fille de répondre, lui pris doucement la main et la tira vers la table. Alors qu'il marchait, il se dit que cette fille était pas mal du genre de certains de ses amis et que, de l'avoir dans les parages serait une assez grande distractions pour ses amis. Il pourrait ainsi avoir un peu la paix.

- Au fait, moi c'est Nicolas Dit-il avant d'arriver à la table.

Se présenter était la moindre des choses quand même!

Quand j’arrivai pour mettre mon foulard, quelqu’un qui m’attrapa le bras. Je cessai toute action et relevai la tête pour voir qui me retenait. Peut-être que la serveuse à enfin trouver une table libre et que je pourrai m’assoir et me demander ce que ma mère fessait ici quand elle avait mon âge. Je vis rapidement que c‘est l’homme qui me parlait il y a quelques moments. J’inclinai un peu ma tête sur le côté confuse. Pourquoi me retient-il? Est-ce que j’ai été mal polie ou encore j’ai fait quelque chose de mal? Il me fit un autre de ces sourires qui me firent rougir. Je ne pouvais pas me cacher cette fois-ci, car le rouge m’est monté trop vite au visage. C’est difficile de ne pas rougir au tour de lui quand il vous regarde droit dans les yeux et vous fait un sourire si charmeur. Je me dis qu’il doit le faire à bien plus de personne, mais à chaqu’un de ces sourire je me sens privilégier. Il me dit que je ne devrais pas passé une soirée ailleurs quand il fait ce temps maussade.

J’allais répliquer qu’il n’y a pas de place pour moi ce soir et que la température n’est pas si désagréable, mais il me proposa de venir avec lui à sa table que ces amis ont prit. J’allais refuser poliment, mais encore une fois il me prit de court en prenant ma main en m’entrainant vers l’endroit désigné. Je restai bouche bée devant cette action soudaine. Juste avant d’atteindre la table il dit son nom. Je ne pouvais que répondre par nom. Mais je pouvais pas car nous avions déjà rejoins ces amis.

Les gars à la table se retournèrent vers nous. Ils accueillirent leur ami avec des « Hey! » ou des « Il était temps! ». Les rires fusèrent à cette table, tout comme l’ambiance du pub. Je souris poliment et attendis que leur salutation finisse. Il leur sourit en serrant amicalement quelques mains de façon que juste les gars le fassent. Vous savez ils se serrent la main et après s’approche pour faire un semi câlin, semi tape dans le dos. Tout à coups, un des gars me vit debout sagement attendant à côté de la table attendant de trouver une chaise pour m’assoir.

-Hey bien Nick! Qui amènes-tu avec toi?